dimanche 2 mai 2010

Approuvé par les forces armées canadiennes

J'ai reçu un courriel de mon vieux chum qui se la coule douce en Afghanistan (Hahaha!):

«J ose espérer que t as déja une copie de la suite de ton livre d imprimer pour moi pcq je vien de terminer le premier et je veux la suite au plus /$%& si tu vois ce que je veux dire.»

Je lui réponds que cette fois-ci il devra le lire en simple interligne. Tant pis pour ses yeux! J'fais plus relier 300 quelques pages juste pour le fun.

Il est rentré de vacances récemment. Lui ai demandé, sur msn, comment il se sentait.
-Tu sais le feeling que t'as quand tu reviens d'une soirée géniale avec tes chums? Quand tu viens de passer un moment écoeurant, que tu te retrouves seul, qu'y tu faut que tu rembarques dans la routine plate...
-Ouais.
-Ben c'est comme ça, mais 100 fois pire.

Ouin... ça va être long jusqu'en octobre...

***

42 pages pour Tharisia.
J'avance quand même assez rapidement. Je suis satisfait.
Bon... mon plan pourrait être un peu plus détaillé, mais j'aime l'inconnu (c'est comme quand j'entends mes potes étudiants prétendre qu'ils ne font pas leurs devoirs d'avance car ils travaillent mieux sous la pression... pfff! Moi aussi j'disais ça, vous savez. Et j'avais conscience de me mentir en pleine face!).

J'ai beaucoup d'éléments à insérer dans cette histoire. Pour l'instant, je crois avoir pris la bonne décision au niveau de la «forme». Rajouter un narrateur supplémentaire (pour l'instant, c'est Annika et les pitreries du journaliste Charal Assaldion) me semble superflu. Ça ne rajoute rien à l'histoire. Laissons la double-narration sur Averia, donc. Concentrons-nous sur Annika, qui est déjà suffisamment complexe comme ça.

***

Hum... peu de choses dans ce billet, finalement.

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